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Les avantages de l’hôtel avec un chien Emmener son chien avec soi à l’hôtel permet de ne pas avoir à chercher une solution de garde pour lui, mais c’est loin d’être le seul avantage de ce type d’hébergement. De fait, que ce soit lors d’une arrivée à l’improviste pour une nuit ou dans le cadre d’un séjour décidé à l’avance, il est sûrement celui qui demande le moins d’organisation, qui est le plus facile à trouver et qui offre potentiellement le plus de services. Pas besoin de trouver quelqu’un pour le garder Le premier avantage évident d’aller à l’hôtel avec lui est que cela évite d’avoir à trouver une solution de garde pour son chien. Cela représente généralement un intérêt en termes De temps Trouver une personne ou une pension canine qui puisse accueillir l’animal prend du temps. La recherche sur Internet et/ou les coups de téléphone passés peuvent même s’avérer très chronophages, en particulier durant certaines périodes… Ainsi, dès lors que le séjour a lieu en pleines vacances estivales ou pendant les fêtes de fin d’année, il peut arriver que les proches s’absentent eux aussi, ne soient pas disponibles et/ou aient déjà été sollicités par d’autres personnes, mais également que les pensions proches du domicile ou du lieu de séjour soient saturées. De logistique Ce n’est pas tout de trouver une personne à qui confier son chien à moins qu’elle vienne directement au domicile, il est nécessaire de le lui amener puis de l’en ramener à la fin du séjour. Cela peut nécessiter un trajet spécifique ou un sacré détour, voire être très compliqué dans une zone mal ou pas desservie par les transports en commun, si on ne possède pas de véhicule ou qu’on n’est pas en mesure de conduire. Le cas échéant, il y a certes la solution de faire appel à un taxi animalier si tant est qu’il y en ait dans les environs, mais là aussi cela prend du temps et nécessite potentiellement de s’organiser en fonction des disponibilités du professionnel. Financiers Certes, certains hôtels acceptant les chiens demandent un supplément pour la présence de ce dernier. Néanmoins, dans la plupart des cas, l’emmener avec soi revient moins cher que de le confier à un tiers pension, dog-sitter… C’est d’autant plus vrai qu’on s’épargne alors aussi le coût du transport pour l’emmener et le ramener — a fortiori si cela suppose de recourir aux services d'un taxi animalier. Quand cela est possible, emmener son chien avec soi plutôt que le faire garder est donc généralement la solution la plus simple et la plus économique. Rester avec son chien Ne pas pouvoir emmener son chien avec soi et devoir le confier à une tierce personne, fût-ce un proche, a tôt fait d’être source d’anxiété, à la fois avant et pendant le séjour. Va-t-il bien supporter la perturbation de sa routine ? L’absence de son maître ? L’éloignement de son domicile, s’il ne reste pas à la maison ? Dans le cas d’une pension, comment va-t-il vivre le fait de rester enfermé dans un box la majeure partie de la journée, d’être entouré de congénères qu’il ne connaît pas et qui vraisemblablement ne sont pas plus rassurés que lui ? Toujours dans le cas d’une pension, est-il bien à jour au niveau des vaccins exigés par l’établissement — par exemple celui contre la toux du chenil ? Et si ce n’est pas le cas, le vétérinaire est-il disponible pour s’en occuper avant le départ ? Enfin, et plus simplement, est-ce qu’on s’occupera bien de lui ? Est-ce qu’il sera bien nourri ? Recevra-t-il suffisamment d’attention et d’affection ? Sera-t-il suffisamment en mesure de se dépenser ? Qu’on opte pour un hôtel ou pour un autre type d’hébergement, emmener son chien avec soi plutôt que de le faire garder permet donc d’éliminer toutes sortes d’inquiétudes. Pour les maîtres les plus anxieux, ces dernières peuvent aller jusqu’à gâcher en partie leur séjour, paniqués qu’ils sont à l’idée de recevoir à tout moment un appel en catastrophe et que le pire survienne. Au-delà de ça, dès lors qu’on est très proche de son animal et qu’on est habitué à l’emmener partout, s’en séparer est souvent un crève-cœur. Du reste, celui-ci peut lui aussi très mal vivre la séparation, et développer toutes sortes de troubles du comportement - avec potentiellement à la clef des conséquences sur sa santé. Au contraire, l’avoir avec soi pendant un séjour à l’hôtel permet de partager toutes sortes de moments ensemble et de renforcer les liens qu’on entretient avec lui. L’offre importante Si l’hôtel est souvent l’option N°1, c’est parce qu’il est généralement facile d’en trouver où qu’on aille. En France, selon des chiffres publiés par le ministère de l’Économie et des Finances, l’offre s’élevait en 2020 à un peu plus de 17 000 établissements. La Belgique n’est pas en reste en 2022, les données de l’office statistique de l’Union européenne, Eurostat, y faisaient état de près de 1500 hôtels. Ils sont encore plus nombreux en Suisse, puisque le rapport La statistique suisse du tourisme 2020 » de l’Office Fédéral de la Statistique OFS dénombrait 3800 hôtels dans le pays. Enfin, les chiffres de la Corporation de l’Industrie Touristique du Québec CITQ font état d’un total de 1300 hôtels dans la province. La disponibilité et la facilité d’accès Quand on doit se rendre quelque part avec son chien pour une nuit, il est souvent plus facile de trouver un hôtel qu’une chambre d’hôtes ou une location de courte durée. En effet, les particuliers qui proposent ce genre d’hébergements demandent souvent que le séjour dure plusieurs nuits. En outre, les hôtels sont normalement aptes à accueillir des clients à l’improviste, ce qui n’est généralement pas le cas pour les autres options. Ainsi, pour un séjour d’une nuit et/ou en cas d’imprévu, l’hôtel est souvent le mode d’hébergement le plus pratique et le plus facile, même avec un chien. Juste à poser ses valises Le principal atout d’un hôtel est qu’il y a juste à poser sa valise et celle de son compagnon — et encore, dans de nombreux d’hôtels, c’est le personnel qui se charge d’apporter les bagages jusqu’à la chambre. Le lit est déjà fait, et un tapis ou un panier peuvent avoir été mis en place afin que l’animal soit lui aussi bien installé. Certains établissements lui offrent même une friandise de bienvenue. Un service de restauration est en outre souvent proposé, ce qui est un véritable plus par rapport à d’autres solutions d’hébergement. En outre, la plupart des hôtels dog-friendly » prennent soin de prévoir une gamelle d’eau dans la salle de restaurant ainsi qu’éventuellement dans la chambre. Le room service peut également s’avérer fort pratique, en particulier si l’établissement ne permet pas de laisser son chien seul dans la chambre le temps d’une brève absence il permet de commander des boissons ou de la nourriture pour soi-même mais aussi parfois pour son animal sans avoir à quitter la pièce. Les services Quand on possède un chien, un séjour à l’hôtel donne accès à des services que les autres modes d’hébergement n’ont généralement pas. Par exemple, certains établissements mettent à disposition des chambres d’accès plus pratique ou acceptent que l’animal soit laissé dans la chambre pour quelques heures, ce qui n’est quasiment jamais le cas dans les locations le plus souvent, le règlement l’interdit explicitement. Certains hôtels, généralement de luxe, proposent même de prendre en charge le compagnon de leurs clients promenades, dog-sitting, repas, toilettage, séances d’éducation canine… Même si cela peut nécessiter de disposer de moyens importants, ces possibilités ont indéniablement de quoi faciliter et rendre plus agréable le séjour du maître et de son animal. Les inconvénients et risques de l’hôtel avec un chien Si emmener son chien à l’hôtel a indéniablement des avantages, cela ne va pas aussi sans certains inconvénients et risques, que ce soit de façon générale ou en fonction de l’établissement choisi. L’accès aux chambres Les chambres d’un hôtel sont souvent à l’étage, le rez-de-chaussée étant réservé à la restauration et aux fonctions administratives. Il est donc nécessaire pour s’y rendre d’emprunter un escalier ou un ascenseur, s’il y en a un. Or, monter et descendre des escaliers est problématique si le chien souffre au niveau des articulations, ou simplement qu’il faut éviter de trop solliciter ces dernières en raison de son âge chiot ou chien âgé, de son état de santé blessure, maladie… ou simplement de sa morphologie les races très allongées comme le Teckel sont particulièrement fragiles au niveau du dos. Du reste, dans le cas où il n’a jamais été confronté à des escaliers ou à un ascenseur, le risque existe qu’il refuse de monter. S’il n’est pas bien lourd et qu’on est en mesure de le porter, tout cela n’est pas forcément problématique. En revanche, c’est une autre affaire avec par exemple un animal de 50 kg… Il est à noter toutefois que certains établissements possèdent des chambres au rez-de-chaussée et les proposent aux personnes accompagnées d’un animal. La moquette On trouve encore dans certains hôtels des pièces communes et/ou des chambres avec de la moquette. Ce type de revêtement n’est pas idéal lorsque le chien est sale, par exemple au retour d’une sortie sous la pluie ou dans un endroit boueux. En effet, il a tôt fait de se salir et de retenir la saleté ; en particulier, il peut alors être difficile de garder et rendre la chambre aussi propre que quand on s’y est installé. Et bien évidemment, faire intervenir le service de nettoyage après chaque sortie n’est pas une solution envisageable… Une moquette a également tendance à retenir les poils morts si le chien est en période de mue, cela peut vite devenir pénible et impossible à nettoyer. De plus, si le client suivant voire le propriétaire lui-même est allergique et que la moquette n’est pas nettoyée en profondeur, l’accumulation de poils peut déclencher une réaction — avec potentiellement de graves conséquences à la clef. Cela dit, nombre d’hôteliers privilégient désormais les parquets ou les linos, qui sont indéniablement plus simples à entretenir. On peut ainsi nettoyer d’un coup de mouchoir les traces laissées par les pattes humides de son chien de façon à garder une chambre propre tout au long du séjour, et éviter de la rendre dans un état déplorable. Un environnement immédiat pas forcément adapté De nombreux hôtels ne permettent pas un accès facile à l’extérieur, ou bien le cadre environnant est peu adapté avec un chien, même pour une brève sortie axe routier très fréquenté, absence de verdure… Or, celui-ci a besoin de se dégourdir les pattes quotidiennement et de se soulager plusieurs fois par jour. Le bruit Dans un hôtel, un chien est susceptible d’être confronté à toutes sortes de bruits de nature à le perturber ceux du passage d’autres clients dans les couloirs derrière la porte, de l’ascenseur, de voisins peu discrets… C’est d’autant plus vrai que n’étant pas dans son environnement habituel, il est beaucoup plus aux aguets. S’il est sans cesse sur le qui-vive et aboie à chaque stimulation auditive qui l’intrigue, il a de grandes chances d’importuner à la fois son maître, les autres clients et l’hôtelier. La promiscuité Quand bien même on aime son compagnon, se retrouver enfermé avec lui dans l’espace exigu d’une chambre d’hôtel implique une promiscuité qui n’est pas forcément du goût de tout le monde. Les choses sont d’autant plus compliquées avec un chien de grande taille, a fortiori si la chambre est très étroite. D'ailleurs, s’il est généralement possible à la maison de faire en sorte que l’animal dorme dans une autre pièce que son maître, c’est nettement plus difficile à l’hôtel on ne dispose bien souvent que d’une seule chambre, avec éventuellement une salle de bains. Cela implique d’ailleurs qu’au-delà de la question de la place, on peut voir son sommeil compromis si on a le malheur de posséder un chien ronfleur. L’idéal est d’opter pour une suite, ou au moins une chambre dotée d’une salle de bain suffisamment vaste et apte à accueillir l’animal en toute sécurité. Néanmoins, cela peut alourdir sensiblement la facture… Le risque parasitaire Les moquettes et les vieux parquets sont de véritables nids à parasites, que ces derniers aient été apportés par un précédent occupant canin ou humain. En effet, le simple passage d’aspirateur effectué par les équipes de ménage ne suffit pas à en éliminer la totalité. Le chien court donc un risque réel d’être infesté à son tour et potentiellement de les transmettre à son maître, voire de contracter ainsi une maladie et de contaminer ensuite ce dernier. C’est d’autant plus vrai si l’hôtelier assigne systématiquement certaines chambres spécifiques aux personnes qui viennent avec leur animal. Si on doit séjourner à l’hôtel avec son compagnon, il est donc important de veiller à ce que ses traitements antiparasitaires soient à jour. Les chiens sont-ils tous acceptés dans les hôtels ? Certains hôteliers mettent en avant le fait qu’ils acceptent les chiens, quitte éventuellement à prévoir certaines réserves en termes de gabarit et/ou de nombre d’animaux par client. D’autres en revanche sont nettement plus fermés sur la question. Quoi qu’il en soit, aucune loi n’oblige les hôtels à accepter les animaux, à l’exception des chiens d’assistance. À l’inverse, la réglementation nationale ou locale peut en cibler certains considérés comme potentiellement dangereux, et tout établissement est tenu de la respecter elle aussi. La proportion d’hôtels acceptant les chiens Aucune statistique officielle ne permet de déterminer la proportion d’établissements qui acceptent les animaux, même si certains avancent que c’est le cas d’environ la moitié d’entre eux. On peut au moins constater que le pourcentage varie fortement d’un type d’endroit à l’autre les hôtels situés en zone rurale ou dans des petites villes accueillent bien plus facilement les chiens que ceux situés dans le cœur des grandes métropoles. Il ne faut donc pas hésiter à adapter ses plans en termes de lieu de séjour afin d’avoir accès à un choix bien plus large, quitte à séjourner plutôt à quelques encablures de l’endroit envisagé au départ. Cela dit, en plus de vérifier si l’hôtel accepte les chiens, il est utile de bien se renseigner en amont sur les modalités exactes qu'il applique éventuelles races interdites, limite en termes de gabarit, de nombre… On s'évite ainsi des mauvaises surprises et incompréhensions à l’arrivée. En tout état de cause, l’offre est normalement suffisamment conséquente pour parvenir à trouver un hôtel à sa convenance, a fortiori dès lors qu'on s’y prend en avance. Le cas des chiens guides et d’assistance Alors que certains hôteliers refusent l’accès de leur établissement aux personnes accompagnées de leur animal, il existe une exception à laquelle ils ne peuvent déroger, du moins dans certains pays celle des chiens guides d’aveugle et des chiens d’assistance pour personne handicapée. Ces animaux sont formés pendant de nombreux mois pour aider au quotidien une personne souffrant d’un handicap moteur, sensoriel, mental… ou d’une maladie. Ce sont de véritables auxiliaires de vie, qui procurent à leur maître un gain réel d’autonomie, de sécurité, etc. En France La Loi pour l’égalité des droits et des chances de 2006 stipule que les chiens guides d’aveugle et les chiens d’assistance sont autorisés à suivre leur maître partout cela vaut notamment pour les commerces et les lieux d’hébergement, dont bien sûr les hôtels. En Belgique La région Bruxelles-Capitale a signé dès 2008 une ordonnance relative à l’accès des chiens d’assistance aux lieux ouverts au public, qui trouve donc notamment à s’appliquer aux hôtels. Elle a été suivie de près par les autorités de Flandre, qui ont pris en 2009 un décret relatif à l’accessibilité des lieux publics ou privés accueillant du public aux personnes accompagnées de chiens d’assistance. Quant à la Wallonie, elle a promulgué en 2021 le décret Kama », qui autorise lui aussi l’accès de ces chiens dans tous les lieux accessibles au public. Ces trois textes, ainsi que d’autres, complètent la Loi tendant à lutter contre certaines formes de discrimination de 2007, qui ne mentionne pas les chiens d’assistance. Au Québec La Charte des droits et libertés de la personne protège les personnes handicapées contre les discriminations basées sur leur handicap ou les moyens de diminuer l’impact de ce dernier. Or, un chien d’assistance ou un chien guide d’aveugle est considéré comme un moyen de limiter l’impact d’un handicap, au même titre par exemple qu’un fauteuil roulant. Ne pas l’accueillir à l’hôtel, à bord d’un taxi ou dans un commerce est donc considéré par la loi comme un acte de discrimination. Cela dit, il peut exister une divergence entre la théorie et la pratique malgré ces textes, certains établissements continuent de rechigner à accueillir ces chiens. Ce faisant, ils se mettent hors la loi et encourent des amendes qui peuvent être importantes. Le cas de la Suisse est un peu différent de celui de la France, la Belgique et le Québec. En effet, aucun article de la Loi sur l’égalité pour les handicapés LHand de 2002 ne fait référence explicitement aux chiens guides et aux chiens d’assistance. Toutefois, dans les faits, une large majorité d’hôteliers les acceptent dans leurs établissements. HotellerieSuisse, l’association de développement de la profession regroupant environ 3000 membres dont plus de 2000 établissements hôteliers classiques, fournit d’ailleurs à ses adhérents un guide de l’accessibilité dans lequel elle les encourage vivement à accepter les chiens guides et les chiens d’assistance. Le cas des chiens catégorisés ou dits dangereux En France, l’article L211-12 du Code rural classe les chiens dits dangereux en deux catégories la première concerne les chiens dits d’attaque », et la seconde ceux dits de garde et de défense ». Les uns comme les autres font l’objet de mesures spécifiques. En particulier, l’article 211-16 stipule que les chiens de première catégorie ne sont pas autorisés dans les lieux recevant du public, tandis que ceux de seconde catégorie le sont, mais doivent être systématiquement tenus en laisse et muselés. Il n’y a pas de loi équivalente au niveau national en Belgique, en Suisse et au Québec. En revanche, il peut exister des dispositions au niveau des municipalités, cantons ou régions, avec parfois de grandes différences de traitement à quelques kilomètres d’écart. En outre, alors que certaines collectivités locales ciblent elles aussi des races en particulier, d’autres prévoient simplement des règles applicables à tous les chiens, sans distinction de race. Dans tous les cas, un hôtel doit évidemment respecter la législation nationale et/ou locale qui s’applique, en fonction de l’endroit où il est situé. Dans un pays comme la France, où les règles sont les mêmes partout sur le territoire, les choses sont assez simples. En revanche, dans le cas contraire, il est bon de se renseigner sur l’éventuelle réglementation locale — quitte à revoir ses plans et opter pour un autre endroit si celle-ci pose problème. Enfin, il faut souligner que le règlement de l’établissement peut parfaitement stipuler que l’hôtelier se réserve le droit de refuser un animal sans avoir à s’en justifier. De fait, au-delà du cadre légal auquel il doit bien sûr se conformer, il est le seul décisionnaire. C’est pourquoi il est utile de s’assurer en amont que le chien est effectivement le bienvenu, a fortiori s’il appartient à une race souffrant parfois d’une mauvaise réputation. Chercher et choisir un hôtel acceptant les chiens Il est bien évidemment plus facile de chercher et choisir un hôtel à l’avance que dans la précipitation. C’est d’autant plus recommandé quand on vient accompagné de son compagnon, car différents aspects relatifs à l’établissement lui-même ou à ses conditions d’accueil des chiens peuvent impacter sensiblement la qualité du séjour pour les deux protagonistes. Internet facilite grandement la recherche d’un établissement où se rendre avec son animal. En effet, il suffit de taper dans son moteur de recherche préféré hôtel acceptant les chiens » et le nom de l’endroit désiré pour découvrir différents établissements susceptibles de correspondre. Il existe en outre différents annuaires et sites spécialisés listant les structures accueillant les animaux par zone et/ou ville, ainsi que toutes sortes de blogs sur lesquels des propriétaires de chiens partagent leurs meilleures adresses. Trouver des hôtels acceptant les chiens dans un endroit donné est donc normalement assez facile. En revanche, mieux vaut ne pas choisir au hasard, au risque de s’exposer à des déconvenues certains points méritent d'être vérifiés avant de réserver… Les points à vérifier Afin de choisir au mieux vers quel établissement se tourner, il convient de bien s’informer sur différentes choses et de vérifier certains points. Cela doit se faire de préférence directement auprès de l’établissement, en consultant son site ou en le contactant. En effet, une information figurant sur un site tiers pourrait s’avérer fausse ou obsolète, ce qui pourrait induire en erreur et être source de déconvenue à l’arrivée. Les conditions d’acceptation des chiens Le règlement intérieur est propre à chaque hôtel, généralement disponible sur son site Internet en plus d’être affiché à la réception. Il y est notamment indiqué si les chiens sont acceptés ou non. Toutefois, on y trouve souvent une formule assez large, du genre animaux admis à certaines conditions ». Si ces dernières ne sont pas précisées, il faut prendre contact directement avec l’établissement pour savoir ce qu’il en est. Le nombre Un hôtelier est libre de fixer une limite au nombre de chiens ou plus largement d’animaux admis par chambre, afin de diminuer les risques liés à leur présence dans l’établissement aboiements, morsures, dégradations, etc. Le cas échéant, la limite est généralement établie à un seul animal par chambre. Certains établissements acceptent toutefois la présence de plusieurs chiens dans la même chambre, en fonction de leur taille et de celle de la pièce. Le gabarit L’acceptation d’un chien dans un hôtel dépend très souvent de son gabarit. Si certains hôteliers restent vagues en mentionnant qu’ils n’acceptent que des chiens de petite taille », d’autres fixent une limite précise de poids. Les documents Un hôtel peut exiger de consulter le carnet de santé du chien, afin de s’assurer qu’il est dûment vacciné et ce donc que certains risques sont écartés. Même si c’est assez rare, il peut aussi demander à ce que ses papiers d’identification soient présentés à l’arrivée, notamment afin de lever tout doute éventuel quant à sa race — en particulier si la législation nationale par exemple la loi sur les chiens dangereux en France ou locale par exemple au niveau du canton ou de la municipalité en Suisse cible certaines races en particulier. Si l’établissement exige de vérifier certains documents le concernant et qu’on n’est pas en mesure de les présenter, cela peut être un motif de refus de l’animal. Le port de la laisse Dans la quasi-totalité des hôtels, les chiens doivent être tenus en laisse dans les parties communes cela évite qu’ils se promènent à leur guise, indisposent d’autres clients, accèdent à des lieux réservés aux personnels voire posent un problème sanitaire par exemple en s’invitant dans les cuisines ou le restaurant. Cela est normalement mentionné dans le règlement, mais si ce n’est pas le cas il ne faut pas hésiter à contacter l’établissement afin de clarifier ce point. Ce qu’il est ou non permis de faire avec son chien En dehors d’éventuels services proposés aux clients propriétaires de chiens, certains hôteliers facilitent leur séjour en leur permettant des choses qui généralement ne sont pas admises ailleurs... L’amener au restaurant de l’hôtel Il est rare que les chiens soient acceptés dans la salle de restauration de l’hôtel, mais certains établissements le permettent — à condition bien sûr qu’ils soient tenus en laisse et qu’ils ne perturbent pas le service ou les autres clients. Le cas échéant, c’est un avantage indéniable si on ne souhaite pas se séparer de son compagnon, ou que celui-ci n’est pas apte ou autorisé à rester seul dans la chambre. Le laisser dans la chambre Certains hôteliers autorisent les maîtres à laisser leur chien seul dans la chambre, du moins sous certaines conditions. Celles-ci portent généralement sur une durée à ne pas dépasser et/ou le fait que l’animal doit alors être enfermé dans une cage ou une caisse de transport, afin d’éliminer tout risque de destruction. En tout état de cause, un échange écrit ou oral permet généralement de percevoir si les chiens sont vraiment les bienvenus, ou tout juste tolérés — ce qui peut faire une réelle différence, en particulier dans le cas d’un séjour de plusieurs nuitées. Le prix Chaque hôtel est libre de fixer les prix qu’il souhaite et de facturer ou non tel service. Certains font le choix d’accueillir gratuitement les chiens de leurs clients, mais la plupart facturent un supplément. Ainsi, le prix pour un chien à l’hôtel se situe généralement entre 5 et 40 euros, francs suisses ou dollars par jour, mais il peut être dégressif en fonction du nombre de nuitées. En tout cas, il est très variable et dépend non seulement du standing de l’établissement, mais aussi du niveau de tolérance de l’hôtelier envers les chiens ou encore de la politique de la chaîne en matière d’accueil des animaux, si l’hôtel fait partie d’un groupe. Dans ce dernier cas, il n’est pas toujours libre de fixer ses prix et ses conditions. Par ailleurs, les services proposés dog-sitting, promenades de l’animal par le personnel, toilettage… peuvent évidemment faire grimper la facture, car ils ne sont généralement pas compris dans le prix de la chambre ni dans l’éventuel supplément facturé pour la présence du chien. Le type de chambre Pour répondre aux besoins des personnes à mobilité réduite, certains hôtels disposent de chambres plus vastes et/ou situées au rez-de-chaussée et facilement accessibles, par exemple jouxtant le bâtiment principal. Elles sont tout à fait recommandées avec un chien de moyenne ou grande taille, car elles permettent un réel gain de confort. D’ailleurs, l’hôtelier les propose généralement spontanément, dès lors qu’il y a de la disponibilité. L’extérieur et les alentours Un chien doit pouvoir se dépenser chaque jour, et aussi tout simplement sortir faire ses besoins. Il est donc recommandé d’opter dans la mesure du possible pour un hôtel disposant ou situé à proximité d’un parc ou d’un jardin autorisé aux animaux, bien sûr. Au contraire, mieux vaut éviter les établissements près desquels se trouvent des axes très fréquentés, afin de réduire le risque d’accident. Les services En fonction des besoins et des attentes qu’on a, les services proposés aux clients accompagnés d’un chien peuvent également être un critère pour choisir tel hôtel plutôt que tel autre. En effet, s’il s’agit parfois de choses assez basiques fournies généralement gratuitement par exemple une gamelle de prêt, certains établissements vont plus loin et proposent des prestations qui peuvent réellement simplifier la vie et/ou améliorer considérablement les conditions du séjour promenades, garde, repas… Comme elles mobilisent du personnel, celles-ci sont généralement payantes et plutôt l’apanage des hôtels haut de gamme - voire de luxe. Le prêt d’accessoires Certains établissements dog-friendly » mettent à disposition une gamelle de prêt. Qu’on l’ait oubliée en partant de chez soi ou qu’on ne souhaite pas s’encombrer lors du séjour, c’est un petit plus appréciable. Dans la même veine, il peut arriver qu’un couchage tapis, coussin… soit fourni pour l’animal. La nourriture En plus de nourrir le maître, certains hôtels se proposent d’en faire de même avec son animal — moyennant finance, bien entendu. Il s’agit souvent de simples croquettes, mais certains vont jusqu’à offrir des préparations à base de légumes, riz et viande. Si l’idée peut sembler alléchante à première vue, notamment pour ne pas avoir à s’encombrer, il convient de garder en tête que l’appareil digestif du meilleur ami de l’Homme est bien plus fragile que le nôtre un changement brutal d’alimentation peut engendrer toutes sortes de problèmes pénibles tant pour lui que pour son maître vomissements, diarrhée… Par conséquent, à moins que l’hôtel soit en mesure de fournir sa nourriture habituelle, mieux vaut plutôt emporter cette dernière. Le dog-sitting Que l’on se déplace pour le travail réunion, rendez-vous… ou que l’on soit en vacances et qu’on souhaite aller faire du ski, de la randonnée, se baigner à la plage ou toute autre activité, il n’est pas forcément possible d’emmener son chien avec soi. Certains hôtels évitent d’avoir alors à chercher une solution pour le faire garder, puisqu’ils proposent eux-mêmes de s’en charger. Ce service de dog-sitting est généralement facturé à l’heure. Les cours d’éducation Seuls quelques rares établissements très dog friendly » en proposent, mais les cours d’éducation canine sont indéniablement un vrai plus quand on est en plein dans l’éducation de son animal et dans l’enseignement des règles ainsi que des ordres favorisant sa bonne intégration dans la société. D’une part, c’est l’occasion de joindre l’utile à l’agréable et de partager de bons moments avec lui. D’autre part, l’hôtel et ses environs offrent potentiellement toutes sortes d’occasions de mettre en pratique ce qui vient d’être appris. Les promenades Des contraintes d’emploi du temps peuvent faire qu’on n’a pas le temps d’offrir à son chien autant de sorties qu’il en a besoin, en particulier quand on séjourne à l’hôtel dans un cadre professionnel et qu’on l’emmène avec soi. Or, celles-ci sont indispensables pour lui permettre non seulement de faire ses besoins, mais aussi de se dépenser et d’être stimulé tant physiquement qu’intellectuellement bruits, odeurs, etc. En outre, s’il n’est pas suffisamment en mesure de se dépenser, il peut vite devenir ingérable et causer toutes sortes de dégâts. Il est certes possible de chercher un dog-walker qui soit en mesure de venir le chercher à l’hôtel et de le promener, mais c’est évidemment encore plus pratique lorsque l’établissement propose lui-même cette prestation. Cela dit, le fait que l’hôtel ne soit pas en mesure d’assurer lui-même certains services requérant du personnel ne doit pas forcément être un point bloquant. En effet, s’il est habitué à accueillir des clients accompagnés de leur chien, il y a de grandes chances qu’il ait des contacts avec des professionnels situés aux alentours et soit donc à même de communiquer les coordonnées d’une pension, d’un dog-sitter, d’un dog-walker, d’un toiletteur… — voire d’effectuer lui-même la réservation. Ce qu’il faut emporter pour un séjour à l’hôtel avec un chien Quelle que soit la durée du séjour, il est indispensable de penser à emporter certaines choses lorsqu’on se rend à l’hôtel avec un chien. Cela dit, concernant les accessoires, il est utile de se renseigner en amont, car certains établissements en mettent à disposition des clients qui viennent accompagnés d’un animal. Son carnet de santé Même si celui-ci est rarement demandé à l’arrivée, avoir sur soi le carnet de santé de son chien permet de justifier de sa vaccination si celle-ci est obligatoire. En outre, si l’animal souffre d’une maladie ou tombe malade pendant le séjour et qu’il est nécessaire de se tourner vers un vétérinaire qui ne le connaît pas, les informations contenues dans ce document aident à une prise en charge plus rapide et plus sûre. Ses papiers d’identification Les documents d’identification d'un chien permettent de prouver son identité ainsi que celle de son propriétaire. De plus, s’il échappe à la vigilance de ce dernier ou d’une personne qui en a la charge, le numéro d’identification est nécessaire lors de la déclaration de perte auprès des services compétents. S’il est de pure race, il est utile d’emporter également son pedigree dans le cas où il pourrait être confondu avec une race ou un type de chien faisant l’objet d’une réglementation spécifique à l’image de la loi sur les chiens catégorisés en France — ou susceptible d’être refusée par l’hôtelier — du fait de sa dangerosité supposée. Sa nourriture Même si certains hôtels proposent des repas pour le chien de leurs clients qui viennent accompagnés de leur animal, il vaut généralement mieux éviter d’y avoir recours. En effet, à moins que cela corresponde à ce qu’il mange ordinairement, il risque d’avoir des problèmes digestifs diarrhées, vomissements… Il est nettement préférable d'emporter ses aliments habituels, ou à défaut s’assurer de pouvoir les trouver dans un commerce à proximité du lieu choisi. Sa laisse Obligatoire dans la quasi-totalité des hôtels, la laisse est un bon moyen de garder son animal auprès de soi sans qu’il n’aille divaguer dans les endroits qui lui sont interdits, importuner les autres clients, occasionner des dégâts… Sa médaille La laisse est elle-même reliée à un collier, sur lequel il est judicieux de faire figurer une médaille avec des informations permettant à toute personne qui trouverait l'animal de se rapprocher de son propriétaire. Contrairement à l'identification du chien par puce électronique ou tatouage, cette médaille n’est pas obligatoire en France et en Belgique. Elle l’est en revanche au Québec, en vertu de l’article 19 de la Loi visant à favoriser la protection des personnes par la mise en place d’un encadrement concernant les chiens, qui stipule que cette médaille est remise par la municipalité locale lors de l’enregistrement de l’animal et doit comporter son numéro d’identification. Il existe des législations similaires dans certains cantons de Suisse. Par exemple, dans le canton de Genève, la Loi sur les chiens de 2011 stipule que le collier doit être muni d’une médaille, mais seule l’inscription des coordonnées du propriétaire du chien est obligatoire. Article détaillé Médaille pour chien Une ou des gamelles À moins que l’hôtel en mette à disposition, il faut penser à emporter les gamelles de son compagnon une pour l’eau et une pour la nourriture. Les gamelles de voyage pliantes sont à privilégier, car elles présentent l’avantage d’être peu encombrantes. Elles sont en outre plus pratiques que les gamelles deux-en-un. En effet, dans ces dernières, de l’eau a tôt fait de se retrouver dans la nourriture, et vice-versa — a fortiori si le chien mange ou boit avec empressement, ou si on déplace l’objet. Il faut alors généralement tout jeter... Dans tous les cas, il faut veiller à disposer en dessous un journal ou tout autre élément de protection, afin d’éviter les projections et les taches sur le sol. Un couchage À l’hôtel, le chien n’est généralement pas autorisé à dormir sur les fauteuils ou le lit. S’il est habitué à passer ses nuits sur le lit aux côtés de son maître, il peut éventuellement mal vivre le fait que cela lui soit refusé — d’autant qu’il est déjà potentiellement perturbé par le fait de se retrouver dans un environnement inconnu. Il est donc recommandé d’anticiper le problème en l’habituant déjà à ce changement quelques jours avant le départ, si cela est possible. En tout état de cause, même si la nuit à l’hôtel s’impose de façon imprévue et que le chien n’est pas préparé à ne pas dormir juste à côté de son maître, il doit s’y faire, car il ne saurait évidemment être question d’enfreindre les règles. S’il a l’habitude de dormir sur un tapis, un panier ou une couverture, l’idéal est d’emporter l’objet en question avec soi. Ainsi, non seulement il sait tout de suite où est sa place dans la chambre d’hôtel, mais en plus il retrouve un objet familier cela ne peut que le rassurer, alors que la situation est potentiellement anxiogène pour lui. En revanche, si d’ordinaire il passe ses nuits directement sur le sol, mieux vaut éviter d’en faire de même. L’installer par exemple sur un vieux drap étalé ou un tapis usagé que l’on emporte avec soi permet de réduire fortement le risque qu’il laisse des salissures. En outre, le ménage s’en trouve facilité pour les employés, qui ne peuvent qu’apprécier ce geste. Il est à noter que certains établissements mettent à disposition un couchage pour les chiens qui accompagnent leur maître. C’est indéniablement un plus si on a une forte contrainte en termes de chargement. Des jouets Avoir un ou plusieurs de ses jouets à disposition permet au chien de s’occuper lorsque son maître est absent ou indisponible, mais aussi de l’apaiser. En effet, c’est rassurant pour lui que de retrouver dans cet environnement inconnu des objets qu’il connaît, qui sont autant de repères. Cela ne peut que diminuer son stress, ce qui est bénéfique tant pour lui que pour son propriétaire. Des sacs à déjections Tout maître un tant soit peu sérieux et respectueux se doit d’avoir toujours sous la main des sacs destinés à ramasser n’importe où et n’importe quand les déjections de son compagnon. En effet, il est tout aussi inenvisageable d’en laisser derrière soi dans le parc, le parking ou les abords de l’hôtel que dans l’espace public. C’est une question de savoir-vivre et de respect envers le personnel, la direction et les autres clients. Il est à noter que certains établissements en fournissent gracieusement à leurs clients, ce qui peut être utile si on n’en a pas emporté une quantité suffisante. La conduite à respecter quand on est à l’hôtel avec son chien Certes, la direction et le personnel de l’hôtel font normalement tout leur possible pour satisfaire et accueillir au mieux le client. Pour autant, cela ne saurait dispenser de se comporter correctement et de se conformer à certaines bonnes pratiques, avec bon sens et respect. En quelque sorte, il n’y a pas que le chien qui doit être bien éduqué pour que tout se passe bien son maître aussi. Prévenir l’hôtel La première des choses à faire quand on souhaite séjourner à l’hôtel avec son chien est de prévenir l’établissement de la présence de ce dernier, dès la réservation. Cela permet au personnel de donner toutes les informations utiles concernant les conditions exactes d’acceptation des chiens, ce qui est permis et ce qui est interdit amener son animal avec soi dans la salle de restauration, le laisser seul dans la chambre…, ainsi que les services éventuellement proposés. Il peut également proposer de mettre à disposition telle ou telle chambre plus accessible ou pratique, ou bien prévoir d’y disposer des accessoires dont on pourrait avoir l’utilité gamelles, couchage pour le chien… Respecter le règlement Comme partout ailleurs, le principe même d’un règlement est évidemment qu’il doit être respecté — s’il ne nous convient pas pour telle ou telle raison, il fallait choisir un autre endroit. Du reste, un maître qui ne respecte pas le règlement ou dont le chien a un comportement de nature à troubler la quiétude des lieux ainsi que le séjour des autres clients aboiements intempestifs, agressivité, etc. risque au mieux un rappel des règles, au pire une exclusion de l’établissement. C’est rare, mais possible. Anticiper les problèmes et les gênes Comme le dit à juste titre l’adage, mieux vaut prévenir que guérir ». Ce n’est pas parce qu’on est en vacances qu’on doit être moins vigilant quant aux problèmes que le chien pourrait causer et tâcher d’anticiper autant que possible ces derniers, afin de les prévenir… C’est d’autant plus vrai que l’hôtel est un mode d’hébergement collectif, et implique donc la présence d’autres clients qui ont tout autant le droit de profiter de leur séjour sans être importunés par la présence d’un animal qui se comporte mal. Contrôler les déplacements de son chien, ses interactions avec les humains et animaux qu’il croise dans l’établissement ou à proximité, veiller à ce qu’il ne soit pas trop bruyant et n’abîme rien sont de bons moyens de faciliter son intégration ainsi que d’assurer une bonne entente tant avec l’hôtelier qu’avec les autres personnes présentes. Respecter la propreté des lieux Parmi les principaux problèmes dont un chien peut être à l’origine dans un hôtel, il y a bien sûr le fait de nuire à la propreté des lieux. C’est d’ailleurs une des premières raisons pour expliquer que bon nombre d’établissements préfèrent ne pas accepter les représentants de la gent canine. La première des règles est évidemment d’éviter tout accident en veillant à le sortir régulièrement faire ses besoins, et bien sûr éviter qu’il se soulage à proximité immédiate du bâtiment cour, parking…. En outre, comme n’importe où ailleurs, il faut veiller bien sûr à emporter un sac pour ramasser ses déjections. Il convient aussi de faire en sorte qu’il soit toujours propre et de nettoyer sans délai toute salissure éventuelle. Une bonne habitude à prendre est de veiller systématiquement à ce qu’il soit propre avant d’entrer dans l’établissement. Ainsi, un brossage efficace à l’extérieur de l’hôtel diminue la dissémination de poils et de saletés une fois à l’intérieur. L’essuyage des pattes juste avant d’entrer est également un geste apprécié des hôteliers. Toujours dans une optique de propreté, mais aussi d’éviter qu’il abîme quoi que ce soit, il est aussi hors de question bien sûr de le laisser monter sur le lit ou toute autre surface en tissu par exemple un fauteuil, quand bien même il est habitué à le faire à la maison. Sa place est sur le couchage qu’on a emporté pour lui, ou qui a été mis à disposition par l’établissement le cas échéant. Informer de ses absences Si l’établissement permet que le chien reste seul dans la chambre en l’absence de son maître, il convient d’informer systématiquement la réception lorsqu'on s’éloigne sans l’emmener avec soi. Cela évite notamment que la personne en charge du ménage intervienne à ce moment-là , avec le risque qu’il soit dérangé, panique et/ou se mette à aboyer bruyamment, voire s’en prenne à elle ou parvienne à s’échapper s’il n’est pas enfermé. Les chiens qui ne sont pas faits pour aller à l’hôtel Différents facteurs font que certains chiens ne sont pas aptes à séjourner dans une chambre d’hôtel, que ce soit de manière temporaire ou permanente. Il est alors nécessaire de se rabattre vers une autre solution. Pour des raisons de santé Que celui-ci soit ponctuel ou chronique, un chien ayant un problème de santé maladie, blessure, handicap… a des chances de fatiguer plus facilement, d’avoir du mal à se déplacer, de supporter plus difficilement les changements, etc. Ainsi, non seulement il n’est pas forcément apte physiquement à accompagner son maître partout, mais même s’il est en mesure de le faire ce n’est pas recommandé pour son bien-être - ni son rétablissement, dans le cas d’une maladie. C’est d’autant plus vrai que son état peut entraîner des changements de comportement incompatibles avec un séjour à l’hôtel, comme une méfiance excessive et de l’agressivité. Autrement dit, non seulement il passerait lui-même un moment désagréable, mais en plus il serait anormalement pénible pour son maître, le personnel et/ou les autres clients. En outre, certaines maladies entraînent des symptômes qui sont problématiques dans un hôtel et/ou plus compliqués à gérer dans un tel endroit diarrhées, vomissements, etc. Un traitement peut également avoir de tels effets secondaires, et le problème est alors le même. Enfin, si le chien doit recevoir régulièrement des soins vétérinaires, cela peut être problématique dans le cas d’un séjour un peu long. En effet, il n’est pas forcément aisé de trouver un professionnel à proximité — et quand bien même on en trouve un, le fait qu’il ne connaisse pas l’animal peut être source de difficultés. Du fait de son âge Aller à l’hôtel avec un très jeune chiot risque de poser problème mieux vaut attendre qu’il soit bien propre et qu’il ne touche ni ne mordille plus tout ce qu’il trouve. Si toutefois on ne peut faire autrement que de l’emmener, il faut veiller à sécuriser la chambre en mettant hors de portée tout ce qui pourrait susciter sa curiosité et potentiellement représenter un danger pour lui, ou tout simplement qu’il pourrait casser les fils électriques, la bouilloire, les objets qui pourraient lui tomber dessus... À l’inverse, un séjour à l’hôtel n’est pas forcément non plus recommandé pour un chien âgé. D’une part, il est généralement plus rétif au changement et s’agace — voire devient agressif — plus facilement, ce qui peut le rendre assez pénible à gérer. En outre, s’il est très affaibli, cela risque d’être éprouvant pour lui. Enfin, certaines conséquences de la vieillesse incontinence, cécité… ne sont pas compatibles avec un séjour à l’hôtel. Pour des raisons ponctuelles Certaines périodes de la vie d’un chien sont peu compatibles avec un séjour à l’hôtel c’est le cas en particulier des mues, ainsi que des chaleurs pour les femelles. La mue Si le chien perd énormément de poils lors des quelques semaines que durent ses mues, au printemps et à l’automne, aller à l’hôtel avec lui au cours de ces périodes est loin d’être idéal. En effet, il risquerait fort de répandre de nombreuses touffes de poils dans la chambre, particulièrement difficiles à éliminer si le sol est recouvert d’une moquette. Les chaleurs Emmener une chienne à l’hôtel alors qu’elle a ses chaleurs n’est pas une bonne idée. Elle risquerait en effet d’affoler les mâles qui se trouveraient dans l’établissement ou à proximité, avec tout ce que cela engendre bagarres, marquage urinaire, etc. En clair, elle serait source de désagréments pour tout le monde l’hôtelier, les autres clients et bien sûr le propriétaire. En outre, elle serait bien plus encline à fuguer à la moindre occasion. Pour des raisons de comportement Que le chien soit très anxieux, qu’il veuille en découdre avec chaque personne ou congénère rencontré ou encore qu’il lui manque les bases en termes d’éducation, les comportements que cela entraîne sont incompatibles avec un séjour à l’hôtel. L’anxiété Emmener à l’hôtel un chien qui est facilement angoissé et que le moindre changement est susceptible de mettre dans tous ses états n’est pas recommandé. En effet, il se retrouve alors dans un endroit qu’il ne connaît pas, confronté à des odeurs et des bruits nouveaux pour lui, entouré par toutes sortes de personnes et d’animaux qui lui sont inconnus. Même si la présence de son maître est rassurante, tout cela a de quoi l’angoisser, et ce faisant l’amener à adopter des comportements inappropriés aboiements, destructions par exemple en mâchouillant tout ce qui lui passe sous les dents, agressivité, grattages ou léchages intempestifs… En outre, le stress peut aussi entraîner divers problèmes digestifs diarrhée, constipation, etc. Le problème risque tout particulièrement de se poser si on le laisse seul dans la chambre, dès lors que la direction l’autorise. En effet, il peut alors se mettre à pleurer, aboyer ou hurler à la mort pendant tout ou partie de l’absence de son maître, mais également saccager les lieux en quelques minutes. C’est la raison pour laquelle certains hôteliers n’autorisent leurs clients à laisser leur animal seul dans la chambre que si celui-ci est enfermé dans une cage ou une caisse de transport. L’agressivité L’hôtel est un type d’hébergement où l’on croise toutes sortes de personnes inconnues clients, personnel…, ainsi éventuellement que d’autres animaux. Mieux vaut donc éviter de s’y rendre avec un chien au tempérament agressif, excessivement protecteur de son maître ou particulièrement belliqueux envers ses congénères ou les représentants d’autres espèces. En effet, au-delà du fait qu’il y aurait un risque réel d’accident attaque, morsure…, devoir le gérer dans ces conditions et s’inquiéter en permanence de ses réactions ne serait pas de tout repos. C’est d’autant plus vrai que se retrouver dans un environnement qu’il ne connaît pas, entouré de toutes sortes de personnes et animaux qui lui sont inconnus, est de nature à le stresser fortement et le rendre particulièrement méfiant. Il n’en est alors que plus agressif. Le manque d’éducation Un chien qui est peu ou pas du tout éduqué, insuffisamment socialisé, qui ne connaît pas les codes de la vie en société et/ou qui n’obéit pas au doigt et à l’œil à son maître, a de grandes chances de mal se comporter voire de devenir franchement ingérable et de représenter une nuisance tant pour le personnel de l’hôtel que pour les autres clients. Du reste, devoir s’inquiéter sans cesse de son comportement et anticiper toutes sortes de problèmes peut vite s’avérer épuisant pour son propriétaire. Le mode de vie auquel il est habitué Un chien qui normalement ne pose pas de problème de comportement peut devenir difficile à gérer s’il se retrouve cantonné entre les quatre murs d’une chambre d’hôtel, alors qu’en temps normal il est habitué à aller et venir à sa guise dans une vaste maison entourée d’un jardin. C’est évidemment d’autant plus vrai si le séjour se prolonge sur plusieurs jours. On peut éventuellement tenter de limiter les risques en demandant une chambre disposant d’un balcon ou d’une terrasse, s’il y en a. Il faut toutefois que celui-ci ou celle-ci soit sécurisée afin que le chien ne puisse pas sauter, se coincer entre les barreaux de la rambarde ou fuguer. Les solutions quand le chien ne peut dormir dans l'hôtel Quelle que soit la durée du séjour et le mode d’hébergement retenu, l’anticipation est primordiale quand on souhaite partir avec son chien — par exemple pour trouver un établissement où il est le bienvenu, ou à défaut une solution de garde pour lui à proximité de là où on s’installe. Cela dit, il n’est pas toujours possible d’anticiper, car on peut avoir des urgences ou des imprévus de dernière minute. Le confier à un dog-sitter ou une pension canine Si on emmène son chien avec soi et qu’il ne peut dormir à l’hôtel, une solution pertinente est de le confier à un dog-sitter ou une pension canine située à proximité, que ce soit seulement pour les nuits ou bien aussi pour certaines journées – par exemple si certains jours on prend part à des activités qui ne lui sont pas accessibles. Cela nécessite toutefois une certaine organisation avant le départ trouver une personne ou un établissement pas trop éloigné, s’assurer de sa disponibilité aux dates prévues, se renseigner sur les conditions d’accueil pour ne pas avoir de mauvaise surprise à l’arrivée, s’assurer que l’animal a reçu tous les vaccins et traitements nécessaires pour être admis, etc. Le faire dormir dans la voiture Si l’on n’a pas vraiment d’autre option réaliste, faire dormir son chien dans la voiture par exemple sur le parking de l’hôtel peut être envisagé à titre exceptionnel, et sous réserve que certaines conditions soient remplies la voiture est dans un endroit sûr et clos, par exemple le garage ou le parking sécurisé de l’hôtel. Il est important néanmoins de la fermer à clef, afin d’éviter qu'il ne trouve la solution pour sortir, ne soit embarqué par un voleur ou ne s’échappe à l’occasion d’une intrusion ; il est à l’abri de la chaleur et du froid Même en dehors de la période estivale, la température augmente très rapidement dans l’habitacle d’une voiture, qui a tôt fait de se transformer en piège mortel pour un chien. En effet, ce dernier est beaucoup moins capable qu’un humain d’évacuer sa chaleur corporelle et refroidir son organisme, en particulier parce qu’il ne transpire quasiment pas. Un coup de chaleur est donc vite arrivé, avec potentiellement à la clef des séquelles voire la mort. Il faut donc laisser les fenêtres entrouvertes pour que l’air circule à l’intérieur, s’assurer que le véhicule ne sera pas en plein soleil dans la soirée ou le matin venu, ou même simplement que la température ne sera pas trop élevée même pendant la méfier du froid est également indispensable. Un chien qui n’a pas un pelage adapté pour affronter les basses températures, qui a l’habitude de dormir à l’intérieur ou qui est fragile ne peut pas rester dans le froid toute une nuit. En effet, même si l’habitacle le met à l’abri du vent et des intempéries pluie, neige…, il ne le met nullement à l’abri des basses températures. En tout état de cause, la température idéale pour un chien se situe normalement entre 15 et 25 degrés. En cas de risque avéré ou de doute concernant le fait qu’il risque d’avoir trop chaud ou trop froid, mieux vaut renoncer à le faire dormir dans le véhicule et se tourner vers une autre solution, quitte à chambouler ses plans. la durée est limitée Il va de soi que même si c’est une solution de dernier recours, un chien ne saurait être laissé de trop nombreuses heures enfermé dans une voiture. En effet, même s’il a l’habitude de cette situation, il pourrait finir par s’angoisser si celle-ci s’éternise, ou tout simplement s’ennuyer. Cela pourrait même le conduire à paniquer et chercher à sortir par lui-même, avec le risque qu’il se blesse et/ou occasionne des dégâts au véhicule. Par ailleurs, il doit de toute façon pouvoir régulièrement faire ses besoins. Enfin, tant le fait d’être cloîtré dans un lieu exigu l’air y est plus rapidement étouffant que le stress peuvent l’amener à avoir plus soif qu’habituellement il est donc nécessaire qu’il s’hydrate. Or, il n’est pas très réaliste d’envisager de lui laisser une gamelle d’eau à disposition, car il est fort probable qu’il la renverse il faut donc se charger soi-même de lui donner à boire. Pour toutes ces raisons, il peut être souhaitable d’écourter sa nuit — ou en tout cas de ne pas envisager de grasse matinée — afin de ne pas le laisser trop longtemps seul dans la voiture. ConclusionDe nombreux hôtels acceptent d’accueillir les chiens, et les choses peuvent se dérouler parfaitement dès lors qu’on a bien choisi l’établissement, pensé à emporter tout ce qu’il fallait et qu’on veille à respecter les lieux ainsi que leurs occupants. Cela suppose toutefois que séjourner à l’hôtel soit adapté pour l’animal, compte tenu à la fois de sa santé, de son éducation et de son tempérament. En tout état de cause, mieux vaut confirmer d’abord que tout se passe bien dans le cadre de séjours d’une ou deux nuits seulement, avant d’envisager des durées plus longues. En cas de doute, ou bien si effectivement il n’a pas vraiment sa place à l’hôtel, ce ne sont pas les autres solutions qui manquent on peut par exemple envisager de faire du camping avec son chien si c’est l’espace qui lui manque à l’hôtel, ou bien de louer un logement de vacances si le problème se situe plutôt du côté de sociabilité. D’ailleurs, certains propriétaires présents sur les plateformes de location de courte durée acceptent les séjours d’une ou deux nuits seulement.
Lorsquece sera fait, vous pourrez faire une saillie. Voici la chronologie des évènements: – L’inscription au L.O.F. du père et de la mère après confirmation. – La production d’une déclaration de saillie dûment remplie et signée, adressée à la S.C.C. dans les 8 semaines suivant l’accouplement.
Bonsoir,Je me tourne vers vous, j'ai besoin de renseignements, je vous expose le "soucis"Ma chienne labrador de 3 ans a ses chaleurs, et lorsqu'elle était dehors ce soir en pleine nuit pour faire son tour avant la nuit elle a contoyé un mâle. On ne sait pas ce qui s'est passé puisqu'on s'en est aperçu qu'en allant voir où elle était, et là , mon mari a vu le mâle se barrer. On ne sait pas depuis combien de temps il était là , ni ce qu'ils ont Une saillie peut se faire en peu de temps ou faut-il effectivement une période d'approche puis une saillie d'une vingtaine de minutes? Car si ça s'est passé comme ça, je ne pense pas qu'il y a eu S'il ma chienne s'est fait saillir, que peut-on faire, sachant qu'on ne veut pas de ces chiots?Me parler pas de stérilisation, s'il vous plait, car on aimerait peut-être qu'elle ait des chiots plus
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La fréquence des chaleurs chez la chienne Chez le chien, une femelle devient pubère très tôt, entre le 6ème et le 18ème mois selon la race. Elle aura ensuite ses chaleurs toute sa vie, car la ménopause n'existe pas chez les canidés. On note toutefois une diminution de l'activité sexuelle dans le cas des chiens âgés. Les chiennes sont habituellement en chaleur tous les 180 jours six mois, mais l'intervalle peut aller de quatre à douze mois selon la race. Ainsi, certaines races de chiens n'ont leurs chaleurs qu'une fois par an, alors que d'autres en ont trois. De même, si en général les chaleurs ont lieu en en automne et au printemps, une chienne peut les avoir à toute époque de l'année. De fait, la fréquence des chaleurs varie non seulement selon la race, mais également d'une chienne à l'autre. Les chaleurs peuvent parfois être irrégulières, mais il n'y a pas lieu de s'inquiéter ce n'est pas anormal. Ainsi, par exemple, les premières chaleurs sont parfois moins espacées que la normale, car le cycle est alors encore en train de se mette en place. De plus, il faut savoir que dans les chenils où il y a plusieurs femelles, les chaleurs sont synchronisées. En général, les jeunes ont leurs chaleurs en même temps que la dominante du groupe, comme chez les loups. Les deux périodes de chaleurs de la chienne Les chaleurs de la chienne, d'une durée d'une vingtaine de jours en moyenne, se divisent en deux phases Le pro-oestrus dure en moyenne 9 à 10 jours, mais cette période est variable selon l'individu, et peut ainsi aller de 2 à 25 jours. On constate que la vulve est enflée et qu'il y a des écoulements sanguins au niveau des lèvres vulvaires. Ces derniers varient selon le gabarit de la chienne, et il sera peut-être obligatoire de nettoyer très régulièrement les sols. Il existe aussi des slips hygiéniques à mettre aux chiennes, mais ils finissent bien souvent arrachés. En général, la femelle attire les mâles durant le pro-oestrus, mais elle refuse qu'ils la chevauchent. Elle peut même se montrer agressive envers eux et envers les autres femelles de son entourage. L'oestrus, la seconde phase des chaleurs, peut être très courte 3 à 4 jours ou durer une vingtaine de jours. Là encore, la durée dépend de l'individu. Les saignements diminuent sans nécessairement disparaître, et sont remplacés par un écoulement plus épais. L'ovulation survient au bout de 2 jours environ. La femelle devient féconde elle accepte enfin le mâle, et la saillie peut avoir lieu. Puis, qu'il y ait eu accouplement ou non, la vulve reprend une taille normale en 6 jours environ, et la femelle refuse à nouveau les mâles. Une fécondation optimale implique théoriquement une saillie entre le 10ème et le 12ème jour après le début des chaleurs. Mais dans la pratique, il est souvent très difficile de connaître la date exacte de début du cycle. Par conséquent, si on souhaite faire faire une saillie à sa chienne, il est conseillé de faire appel à un vétérinaire. On peut en effet faire faire une prise de sang au chien pour suivre de manière précise l'évolution de son taux de progestérone, une hormone qui prépare l'utérus à une gestation. Cela permet de connaître la date précise d'ovulation et donc la date idéale de saillie. Quand la femelle a ses chaleurs, elle émet des odeurs que l'on nomme copulines et qui attirent fortement les mâles. Si les maîtres ne désirent pas faire faire de portée à leur animal pour diverses raisons, des solutions pour éviter qu'ils ne s'approchent de trop près de la femelle sont envisageables. Les propriétaires de la chienne en chaleur peuvent limiter les émanations odorantes en lui mettant une culotte lors des promenades, et en évitant les endroits fréquentés par des mâles. Ils peuvent aussi lui donner des comprimés de chlorophylle, vendus chez les vétérinaires, ou encore lui frotter les fesses avec de l'huile de cade. Dans tous les cas, lors de n'importe quelle sortie, la chienne doit être tenue en laisse, et si elle séjourne habituellement dans le jardin, il ne faudra pas la laisser trop souvent sans surveillance. En dernier recours, les maîtres peuvent amener leur chienne chez le vétérinaire pour lui faire faire une injection d'hormones qui bloquera ses chaleurs. Attention pour autant à ne pas en abuser. En effet, il peut y avoir des risques d'inflammation de la matrice, ce qui pourrait dans le futur compromettre une grossesse désirée. Il est aussi possible d'utiliser des moyens de contraception par exemple la pilule contraceptive, comme pour la femme il faut alors se tourner vers un vétérinaire qui déterminera la méthode la plus adaptée à la chienne. Enfin, il est aussi évidemment possible d'opter pour une stérilisation de la chienne, moyen contraceptif sûr mais définitif, consistant à lui enlever les ovaires. ConclusionLes chaleurs de la chienne sont une phase très importante si l'on souhaite la faire se reproduire et avoir une portée. Il convient toutefois que les renseignements donnés ici le sont à titre indicatif, car le comportement peut varier énormément d'un sujet à l'autre, rendant parfois très difficile le choix du moment idéal pour la saillie. Un suivi vétérinaire, avec frottis vaginal et dosage de progestérone, est donc fortement conseillé pour définir le moment de l'ovulation, puis, plus tard, pour contrôler la gestation de la chienne. Dernière modification
Chiendu voisin qui a sailli ma chienne. Je me trompe peut-être de forum, je m'en excuse d'avance. Hier le chien du voisin non castré qui se balade tout seul dans la nature ( j'habite en ville dans un lotissement), a sauté le grillage de mon jardin pour aller saillir ma chienne. Je ne suis pas sûre qu'il ai tout bien fait car je suis allé
Télécharger l'article Télécharger l'article Faire s'accoupler des chiens n'est pas aussi simple que de les mettre ensemble et d'attendre qu'ils s'accouplent. En fait, l'accouplement des chiens est une activité qui prend du temps et qui coute de l'argent. Vous ne devez faire s'accoupler des chiens que si vous pensez que cela va améliorer la lignée et si vous avez pu trouver des foyers pour accueillir les chiots [1] . Avant de faire s'accoupler votre chien, assurez-vous d'avoir toutes les informations nécessaires pour prendre des décisions responsables. 1 Attendez que le chien soit suffisamment âgé. Tout comme les êtres humains, les chiens doivent atteindre leur maturité sexuelle avant de pouvoir se reproduire en toute sécurité. C'est d'autant plus important pour les chiennes, car leur santé peut être mise à mal par la gestation si leur corps n'y est pas préparé. Le chien doit avoir au moins un an et demi avant de pouvoir s'accoupler. La chienne doit avoir passé au moins deux ou trois périodes de chaleur. 2Ne faites pas s'accoupler des chiennes plus âgées. Il peut être dangereux de faire s'accoupler des chiennes dont le corps est trop âgé pour supporter une gestation. Il existe un désaccord entre les éleveurs à propos de l'âge limite des chiennes. En général, vous ne devriez pas faire s'accoupler des chiennes de plus de 4 ans, surtout les chiennes de race plus grandes qui ont une espérance de vie plus courte. Si vous possédez une chienne d'une race moyenne ou petite, vous devriez toujours éviter de la faire s'accoupler si elle est trop âgée. Cependant, vous devriez faire attention lorsque la chienne a entre 4 et 6 ans. À 7 ans, elle est définitivement trop âgée, même si elle fait partie d'une race plus petite. 3 Faites des recherches à propos des maladies génétiques qui affectent la race de votre chien. Avant de faire s'accoupler un chien, vous devez vous renseigner à propos des maladies génétiques qui affectent sa race. Par exemple, les border collies, les shetlands et les colleys présentent un risque élevé de problèmes héréditaires aux yeux [2] . Aux États-Unis, le collège des ophtalmologues vétérinaires peuvent ausculter votre chien avant que vous ne le fassiez s'accoupler [3] . S'il peut certifier que votre chien ne présente pas de risques, vous pouvez faire enregistrer votre animal. Même si votre chien a l'air plein d'énergie et en bonne santé, toutes les races présentent des risques génétiques. Par exemple, les lhasa apsos sont vulnérables aux hernies inguinales et aux maladies rénales, alors que les bergers allemands ont tendance à souffrir de dysplasie héréditaire de la hanche [4] . Vous devriez aussi faire des recherches à propos de la lignée de votre chien. Si votre animal a des problèmes spécifiques qui peuvent être retracés dans sa lignée, vous ne devriez pas le faire s'accoupler [5] . 4 Faites attention à la dysplasie de la hanche chez les races moyennes ou grandes. Même si ce problème affecte plutôt ces types de races, les races plus petites comme les cockers espagnols peuvent aussi en être atteintes. Certains chiens pourraient ne pas présenter les symptômes de ce trouble, mais ils ne devraient toujours pas s'accoupler s'ils en sont atteints [6] . La dysplasie de la hanche est une détérioration de l'articulation de la hanche qui fait que le fémur ne rentre pas suffisamment loin dans la cavité de la hanche. Ce trouble peut provoquer de l'arthrite qui détruit le cartilage et provoque des douleurs graves. Les éleveurs ne doivent pas faire s'accoupler des chiens qui en sont atteints. Un radiologue peut faire passer la hanche du chien aux rayons X. Cet examen ne peut être effectué que lorsque le squelette du chien est arrivé à maturité, après ses deux ans. Le chien devrait subir une anesthésie générale pour qu'il ne bouge pas pendant l'examen aux rayons X. La radiographie est ensuite envoyée à un panel indépendant d'experts qui vont donner une note aux caractéristiques de la hanche du chien. Plus la note est basse et plus l'articulation de la hanche est saine. Seuls les animaux qui ont obtenu une note basse devraient être autorisés à se reproduire. 5 Vérifiez la présence de luxation de la rotule chez les chiens de petites races. Ce trouble affecte les genoux et amène la rotule à glisser hors de son emplacement et à bloquer la jambe en position droite. Les chiens plus petits sont plus enclins à développer ce trouble que les chiens plus grands. Le diagnostic de cette maladie est rapide et une opération chirurgicale peut corriger ce problème. Les chiens atteints de luxation de la rotule ne devraient tout de même pas s'accoupler, car c'est un trouble héréditaire. 6Stérilisez les chiens qui échouent au test de BAER. Il peut être difficile de savoir si un animal vous entend ou s'il décide simplement de vous ignorer. Le test de BAER brainstem auditory evoked response ou réponse auditive provoquée par le tronc cérébral permet de mesurer l'activité électrique dans l'oreille [7] . Si un chien échoue au test de BAER, vous pouvez être sûr à 100 % que votre chien va transmettre à sa descendance le gène de la surdité. Ces animaux ne doivent alors pas être autorisés à s'accoupler. 7Faites tester votre chien pour des problèmes cardiaques. De nombreuses races souffrent de problèmes cardiaques. Par exemple, les boxers présentent un risque de sténose subaortique et les cavalier king charles spaniels de maladies de la valve mitrale [8] . Le vétérinaire va surement lui faire passer une échographie pour détecter des problèmes potentiels. Vous devez éviter de laisser s'accoupler votre chien si un quelconque problème est détecté. 8 Confirmez que le tempérament de votre chien est en accord avec le tempérament général de sa race. Il existe de nombreux tests de tempérament spécifiques à de nombreuses races communes, par exemple pour les dobermans [9] . Il existe aussi des tests plus généraux qui permettent d'évaluer le tempérament et le niveau de dressage de votre chien [10] . En plus, vous trouverez différents tests chez les clubs cynophiles [11] . Si votre chien a des problèmes de tempérament, par exemple si vous ne pouvez pas lui faire confiance et le laisser seul avec d'autres personnes, s'il est excessivement agressif, facilement excitable ou s'il mord lorsqu'il a peur, vous ne devriez pas le laisser s'accoupler. Même si votre chien est timide et soumis, ne le laissez pas s'accoupler. Vous devez faire s'accoupler un chien heureux, sûr de lui et obéissant lorsqu'il est autant avec les hommes qu'avec les autres animaux. 9 Faites passer un test de la brucellose à votre chien. La brucellose est une infection bactérienne qui peut éventuellement provoquer la stérilité chez les deux sexes [12] . Elle peut aussi provoquer une fausse couche ou une mort prématurée des chiots après leur naissance [13] . La brucellose est souvent transmise lors de l'accouplement. Cependant, un chenil entier peut en être infecté si les chiens entrent en contact avec des excréments contaminés. La brucellose peut être occasionnellement transmise aux êtres humains via l'urine ou les excréments des chiens. Les chiens mâles doivent subir un test de la brucellose tous les 6 mois. Si le test revient positif, le chien doit être castré ou soigné, mais vous ne pourrez le faire s'accoupler qu'après 3 tests successifs négatifs. Cependant, vous devez garder en tête qu'un chien mâle qui a souffert de brucellose pourrait être stérile à l'avenir, c'est pourquoi les chances d'un accouplement réussi deviennent plus minces. 10 Demandez à un vétérinaire de faire un examen général de votre chien [14] . Assurez-vous que votre chien et son partenaire potentiel sont en bonne santé avant de les laisser s'accoupler et n'ayez pas peur de demander à voir le carnet de santé de l'autre chien. Un éleveur responsable va essayer d'améliorer la lignée du chien et va éviter de transmettre des défauts génétiques qui pourraient provoquer des problèmes à sa descendance plus tard. La femelle doit être en bonne santé pour supporter le stress et la rigueur provoqués par la gestation. Voici quelques indices qui indiquent que le chien est en bonne santé. La femelle doit avoir une forme physique et un poids idéal pour sa race. Vous devriez pouvoir sentir ses côtes lorsque vous les touchez sans pouvoir les voir et sa ligne de taille doit être évidente. Le surpoids augmente le risque de complications à la naissance, mais un poids trop faible lui donnera du mal à nourrir ses chiots. Parmi les indicateurs de bonne santé, vous pourrez observer sa fourrure luisante, ses yeux brillants, une absence d'odeur corporelle et ses yeux, son nez et ses oreilles ne présentent pas de restes de sécrétions. Elle doit pouvoir faire de l'exercice sans tousser et elle ne doit pas vomir ou avoir de la diarrhée. Les vaccinations des deux chiens doivent être à jour. N'oubliez pas qu'en général le propriétaire du mâle ne supporte aucuns frais et reçoit une partie des chiots en tant que paiement. Le propriétaire de la femelle reçoit un paiement en vendant les chiots qui restent et doit aussi payer les frais de vétérinaire et les frais généraux [15] . 1 Attendez que la femelle entre dans sa période de chaleur. Lorsque les chiennes atteignent leur maturité sexuelle, elles commencent à avoir des chaleurs lorsqu'elles sont prêtes à l'accouplement. Les chiennes sont en chaleur environ tous les 6 mois pendant une période de 21 à 35 jours. Voici plusieurs signes qui indiquent que la femelle est en chaleur [16] . Elle plie sa queue sur le côté lorsque vous lui frottez le dos pour montrer l'ouverture du vagin. Sa vulve est prise de spasmes et gonfle. Du sang s'écoule de son vagin. Sachez cependant qu'un écoulement de sang par le vagin chez une chienne qui n'est pas en chaleur doit vous alerter et vous devez l'emmener immédiatement chez le vétérinaire, car ce peut être le signe d'une infection de l'utérus et peut s'avérer un problème très grave. 2 Surveillez l'apparition des signes de l'ovulation [17] . Ce n'est pas parce que la chienne est en chaleur qu'elle est prête hormonalement ou psychologiquement à s'accoupler. Elle sera prête à accepter l'accouplement et à tomber enceinte lorsqu'elle commencera à ovuler. L'ovulation a le plus de chances de se produire entre 7 et 10 jours après le début des chaleurs, mais cela peut dépendre du chien. Certaines chiennes ovulent dès le troisième ou quatrième jour, alors que d'autres ovulent le 27e jour. Mère Nature fait un travail intelligent et les hormones qui déclenchent l'ovulation augmentent aussi l'intérêt sexuel des chiens mâles. Ainsi, la meilleure façon de savoir si une chienne a ovulé est d'observer la façon dont elle interagit avec des partenaires potentiels. Si les deux chiens vivent l'un près de l'autre, faites venir la femelle tous les deux ou trois jours. Soyez attentif au comportement qui indique qu'elle est ouverte à l'attention du mâle. 3 Faites-lui passer une cytologie vaginale [18] . Si le partenaire de votre chienne vit trop loin, il n'est pas raisonnable de faire le trajet tous les deux ou trois jours pour voir comment elle se comporte à son contact. Dans ce cas-là , vous pouvez demander à un vétérinaire de lui faire passer une cytologie vaginale. Tout d'abord, il va passer un coton-tige sur la muqueuse à l'intérieur de son vagin. Ensuite, il va le frotter sur une lame de microscope, la laisser sécher à l'air et la colorer pour l'observer au microscope. Le type de cellules prélevées sur la muqueuse du vagin varie selon l'étape du cycle reproductif de la chienne. Les cellules associées aux chaleurs sont larges, rectangulaires et possèdent un noyau et des débris cellulaires. Lorsque le nombre de globules rouges baisse, mais si ces grosses cellules sont présentes, la chienne a plus de chances d'être réceptive. Lorsque le moment est passé, le taux de globules blancs, de cellules nucléées et de globules rouges commence à augmenter. 4 Demandez à votre vétérinaire de lui faire passer un test sanguin. Il est possible d'utiliser un test sanguin à la place de la cytologie vaginale pour détecter l'ovulation et c'est aussi la solution préférée de certains éleveurs. Le test sanguin permet de mesurer le taux de progestérone dans le sang de la chienne, car une augmentation significative de cette hormone indique que la chienne est sur le point d'ovuler. Avant l'ovulation, le taux de progestérone dans le sang est généralement de 2 ng nanogrammes. Il augmente jusqu'à 5 ng pour déclencher l'ovulation et il continue de monter après l'ovulation pour atteindre jusqu'à 60 ng. Pour détecter l'ovulation, il peut être nécessaire de répéter les tests sanguins tous les deux ou trois jours. Pour trouver le taux critique de 5 ng qui indique l'ovulation, vous devriez commencer à faire tester la chienne avant la date prévue de l'ovulation [19] . 1 Envisagez l'insémination artificielle pour les partenaires trop éloignés l'un de l'autre. L'insémination artificielle est souvent encouragée pour retenir des qualités génétiques voulues et éliminer les caractères indésirables. Elle est souvent utilisée pour préserver des races rares et c'est une bonne alternative si le partenaire le mieux adapté habite beaucoup trop loin. Le sperme est recueilli chez le mâle, un vétérinaire en vérifie l'activité et la qualité avant de le conserver. Il peut être refroidi si l'insémination ne se produit qu'après quelques heures ou même congelé dans de l'azote liquide pour pouvoir le conserver pendant plusieurs années. La femelle est ensuite fécondée, idéalement aux environs de sa période d'ovulation. Le sperme est déposé dans son système reproducteur en utilisant un long tube en caoutchouc. En général, celui-ci est déposé près du col de l'utérus, là où son partenaire le déposerait naturellement. Vous pouvez acheter des kits d'insémination artificielle sur Internet ou en animalerie [20] . Gardez en tête que l'insémination artificielle n'a pas le même succès en termes de résultats que l'insémination naturelle. Attendez-vous à un taux de réussite situé entre 65 et 85 %, avec des résultats plus élevés pour les races plus petites [21] . 2Rasez les poils qui se trouvent sous la queue de la femelle. Si la femelle a des poils longs, il est possible que sa fourrure empêche le bon déroulement de l'accouplement. Pour l'éviter et pour éviter de perdre votre temps pendant la fenêtre d'ovulation, envisagez de raser les poils qui se trouvent sous la queue pour améliorer les chances d'un accouplement réussi. 3 Amenez la femelle chez le mâle. Le mâle pourrait se sentir en danger et distrait si vous le sortez de son habitat normal. Cela peut alors l'empêcher de se reproduire correctement avec la femelle. Pour éviter ce problème, vous devez mettre en place une aire d'accouplement à un endroit où il se sent à l'aise. Ce doit être un lieu privé et fermé chez le mâle, de préférence à l'extérieur, où les deux partenaires pourront se reproduire sans distractions. Normalement, seules deux personnes doivent être présentes, de préférence les deux propriétaires [22] . N'emmenez pas d'inconnu qui pourrait distraire les chiens. 4 Présentez les deux chiens. Vous ne devez pas hâter le processus de l'accouplement, les deux chiens doivent apprendre à se connaitre. Les chiens vont avoir besoin de plusieurs heures pour se sentir à l'aise l'un avec l'autre. Le temps nécessaire peut varier selon les expériences passées de chaque chien, selon leur disposition et le timing des essais d'accouplement [23] . Vous pourriez vous rendre compte que les chiens s'entendent bien l'un avec l'autre, mais comme des amis ». Si c'est le cas, cela provient probablement du fait que la chienne n'a pas ovulé ou qu'elle n'est pas prête à s'accoupler ou même qu'elle n'est pas prête psychologiquement à s'accoupler. Ce dernier fait peut se produire si le chien est tellement lié à son propriétaire qu'il se considère plus comme une personne que comme un chien. Si c'est le cas, ne forcez pas l'accouplement, cela reviendrait à un viol. Acceptez simplement que votre chienne ne soit pas faite psychologiquement pour s'accoupler. Même si elle apprécie la compagnie, mais si elle ne se reproduit pas, acceptez ce fait. 5 Surveillez constamment les chiens. Les chiens ne doivent jamais être laissés seuls, même si le processus prend du temps. La chose la plus importante à faire lorsque vous faites s'accoupler de chiens est d'assurer leur sécurité à tout moment. Gardez-les en laisse et installez une muselière sans trop la serrer sur le museau de la femelle, surtout si c'est son premier accouplement. Elle pourrait s'attaquer au mâle si elle ne se sent pas prête. Parlez aux chiens d'une voix douce et encourageante pour qu'ils se sentent en sécurité et à l'aise. Ne leur criez jamais dessus si vous êtes frustré ou énervé après plusieurs échecs. 6Observez les signes d'intérêt chez les deux chiens. Un mâle intéressé va renifler l'arrière de la femelle et une femelle intéressée va relever la queue pour le laisser faire. Le mâle pourrait aussi lécher la vulve de la femelle et essayer de la monter si elle a l'air consentante et prête [24] . 7 Ajustez la position de la femelle si elle ne tient pas en place. Elle pourrait devenir trop excitée ou distraite si le mâle lui montre de l'intérêt. Pour la garder en place, mettez sa tête dans le creux de votre bras et maintenez-la debout avec vos mains. Vous pouvez alors la déplacer jusqu'à ce qu'elle se trouve en face du mâle. La personne qui vous accompagne peut aussi lui tenir la queue pour l'écarter du chemin du mâle. 8Laissez le mâle monter la femelle par-derrière. Une fois qu'il monte la femelle, une partie de son pénis appelée bulbus glandis » va gonfler [25] . L'augmentation de taille de son pénis va permettre de le faire entrer dans le vagin de la femelle. Les chiennes ont des muscles très forts au niveau de l'ouverture du vagin. Ces muscles se contractent autour du pénis gonflé, ce qui permet de le bloquer dans le vagin. 9 Ne vous inquiétez pas si les chiens se retournent. Il est possible que les chiens se retournent pendant l'accouplement et fassent face à des directions opposées. Le mâle va passer ses pattes avant sur l'un des côtés et il va généralement passer une de ses pattes arrière par-dessus le dos de la femelle et les chiens vont alors se tenir dos à dos. Ils ne seront alors retenus que par le pénis du mâle qui se trouve dans le vagin de la femelle. Ce comportement est parfaitement normal pendant l'accouplement. Les chiens peuvent rester dans cette position pendant un long moment, généralement entre 15 et 45 minutes selon les races. L'accouplement prend au moins 20 minutes. On explique souvent cette position pendant l'accouplement comme un système défensif qui protège les chiens pendant une période où ils sont plus vulnérables. Pendant que le mâle se trouve sur le dos de la femelle, il ne peut pas surveiller ses arrières et ses organes génitaux sont exposés. Lorsque les deux chiens font face à des directions opposées, ils présentent un système de défense beaucoup plus efficace contre des prédateurs éventuels ou contre d'autres chiens qui chercheraient à s'accoupler avec la même femelle. 10 Rassurez la femelle si elle commence à gémir pendant qu'ils se trouvent dans cette position. Elle pourrait exprimer sa détresse pendant la première partie de l'accouplement et elle a besoin que vous veniez la réconforter. Il est très dangereux d'essayer de séparer des chiens qui se retrouvent dans cette position avant qu'ils ne soient physiquement capables de le faire, c'est pourquoi vous devez étreindre la femelle et la rassurer pour qu'ils ne se séparent pas. Après l'éjaculation, le pénis va commencer à dégonfler et les muscles du vagin de la femelle vont commencer à se détendre. Le mâle sera alors libéré en toute sécurité. 11Occupez-vous des chiens tout de suite après l'accouplement. Une fois que la taille du pénis du mâle est réduite et que les muscles vaginaux de la femelle se sont décontractés, les deux chiens vont se séparer. Il vaut mieux que vous ne laissiez pas la femelle uriner pendant 15 minutes après l'accouplement. Le propriétaire du mâle peut le promener jusqu'à ce que l'érection disparaisse et que son pénis ne soit plus visible. 12Faites s'accoupler les chiens une nouvelle fois. Deux jours après le premier accouplement, vous pouvez essayer de faire s'accoupler les chiens une nouvelle fois. Cela permettra d'augmenter les chances de gestation chez la femelle. Il est particulièrement important de recommencer l'accouplement si vous n'êtes pas sûr que la chienne a ovulé. À propos de ce wikiHow Cette page a été consultée 59 448 fois. Cet article vous a-t-il été utile ?
Lesétapes de la saillie. Si la chienne se sent prête et accepte le mâle, les étapes de la saillie devraient se dérouler ainsi : - Le mâle entame une parade et renifle la vulve de la chienne : c’est ce qu’on appelle le comportement précopulatoire. Il se posera ensuite à côté d’elle en attendant qu’elle l’accepte.
Publié le 25/06/2019 à 14h47 Modifié le 26/06/2019 à 09h26 dans la catégorie Emotion Il avait laissé sa conjointe et sa chienne ensemble. Lui avait un voyage d’affaires. Mais, la caméra de surveillance de la cuisine a détecté un mouvement suspect, après minuit… Sa concubine et sa chienne s’étaient mises à danser en plein milieu de la pièce. Une scène irrésistible qui lui a permis de dormir sur ses deux oreilles. © Jose Perez La vie ne peut pas être plus parfaite. José Perez vit une formidable histoire d’amour avec sa compagne, mais aussi avec sa chienne, Nina. Sauf que l’homme a récemment dû partir en voyage d’affaires, loin de son domicile. Il a donc confié son protégé à sa petite-amie. Afin de s’inquiéter le moins possible, il a installé une caméra dans la cuisine, pour surveiller les faits et gestes de Nina pendant les absences de sa conjointe… elle aussi au travail la journée. Une vidéo qui devait également envoyer un signal d’alerte en cas de mouvement suspect après minuit. Et cette nuit-là , José a été réveillé par l’alarme… Nina et la copine de José sont très proches Point de cambrioleur, mais plutôt une drôle de scène. Depuis sa chambre d’hôtel, il pouvait voir que sa compagne et Nina s’éclataient ensemble. Les deux dansaient en son absence. Une complicité qui ne le surprenait pas vraiment. Elles sont très proches l’une de l’autre. Nina est très heureuse de voir ma copine quand elle rentre du travail. Bien plus heureuse que quand c’est moi », avoue-t-il à The Dodo, sans une once de jalousie. Son retour a été fêté comme il se doit par Nina. Même si, là encore, elle fut moins folle que pour sa maîtresse…A lire aussi Une chienne Saint-Bernard élève 17 chiots après avoir adopté 6 orphelins en plus des siens via Gfycat Par Alexandre Dieu Rédacteur en chef Lire la suitePassionné d’écriture, des réseaux sociaux et bien évidemment des animaux, Alexandre Dieu est le rédacteur en chef de Woopets. Diplômé d’un Master Métiers de la rédaction, il travaille en harmonie avec 2 vétérinaires, une éducatrice canine, un journaliste et 2 rédacteurs spécialisés mobilisés pour Woopets.
Laleishmaniose : une maladie qui fait peur mais qui se traite ! La leishmaniose est une maladie dite Méditerranéenne, qui sévit principalement sur le pourtour méditerranéen, l’Espagne, la Corse, l’Italie, et de plus en plus le sud de la France. Mais en raison du réchauffement climatique, on la rencontre maintenant dans des régions
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elle se fait saillir par son chien